mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
1,2,3, long life to LIFE
Mes sous-marins en état de marche :
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
Autres modèles : quadricoptère MiniDex amphibie full carbon, Quad Alien 680 pliable slowfly + Gopro
J-Pay quad 250 racer, Hexacoptère Typhoon H Yunnec.
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
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Jacky-Soum
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- Localisation : La GUERCHE sur L'AUBOIS, région centre
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Bonjour tout le monde ! 
Voici une nouvelle mise à jour de ce dossier avec Les nouvelles torpilles du LAUBIE !
Depuis sa construction, le LAUBIE tire des torpilles électrique dont la mise en marche s’effectue par le déplacement d’un petit aimant interne qui commute un ILS ; ce système a l’avantage d’être simple et bien adapté au système de tir par ressorts qui donne une poussée très puissante, provocant le déplacement de l’aimant par inertie.
Pour les révisions, c’est ici : viewtopic.php?f=6&t=362#p4096
Mais comme pour tout système quel qu’il soit, il y a les avantages et les inconvénients !
Et quand ces derniers supplantent les premiers, on réfléchit à une solution….
Passons en revue les problèmes que j’ai rencontré pendant ces 8 années d’utilisation :
- Tout d’abord, le fait que lorsqu’elle est tirée, la torpille ne s’arrête pas toute seule, ce qui a donné parfois des situations cocasses, (telle l’année dernière à PANZOULT, JOJO s’en souvient certainement… ) mais qui provoque soit la perte de la torpille (2 fois…) soit, à la longue, la destruction de la batterie Lipo qui va bien au-delà du seuil de décharge autorisé…. 
- Destruction du moteur et, parfois de la batterie, en cas de blocage de l’hélice par une herbe si on ne repêche pas la torpille rapidement.
- Et d’autre part, le montage « en l’air » de la batterie et de sa prise de charge forme un ensemble fragile !
- Idem pour l’ILS qui est maintenu en place uniquement par les fils !!!
J’ai donc eu tout le temps d’observer les systèmes utilisés par les copains et réfléchir à une solution qui allie les avantages des uns en éliminant les inconvénients des autres et j’ai mis au point un petit montage simple et robuste qui permet en plus un test aisé du fonctionnement.
Le cœur du système adopté est un relais REED qui, contrairement au relais que tout le monde a vu et (ou) manipulé à un moment donné, ne comporte pas de carcasse métallique dont une partie mobile entraîne le contact lorsque la bobine est alimentée, mais un simple ILS logé au milieu d’une bobine.
Le voici au centre du montage ; c'est le boîtier noir qui a la forme d’un circuit intégré classique à 14 pattes.
L’avantage d’un tel relais, c’est qu’il peut être activé par un aimant que l’on passe à proximité !
Et, mieux encore, cet aimant peut aussi provoquer la retombée du relais, et donc, l’arrêt du système ! Un détail intéressant, comme on le verra plus loin…
Voyons le schéma de principe :
L’analyse rapide montre qu’au repos, la batterie est totalement isolée du circuit par le contact « normalement ouvert » du relais ; il n’est donc pas nécessaire de la débrancher lorsque la torpille est stockée…
La partie surlignée en vert montre le contact « normalement fermé » du relais qui ferme une boucle comprenant un condensateur et une résistance : c’est le circuit de décharge du condensateur ; son utilité sera évidente plus tard.
Ensuite, on remarque un transistor monté en « émetteur commun » avec la bobine du relais reliée sur son « collecteur 'C'» et une résistance sur sa « base 'B'».
Enfin, en parallèle sur cet ensemble, on a le moteur de la torpille et une diode « de roue libre » qui a pour mission de protéger le montage. (On n’entrera pas dans le détail de fonctionnement de cette partie)
Voyons maintenant comment ça marche !
Lorsqu’on passe l’aimant près de la torpille, l’ILS se ferme, alimentant le circuit. Le moteur tourne et le circuit du transistor est alimenté lui aussi et c’est ce circuit qui est important pour la suite….
….Car le condensateur précédemment déchargé par le relais au repos, se comporte comme un fils, comme représenté sur le schéma suivant ; dans ce cas, la base du transistor est alimenté à travers la résistance de 100 kΩ, ce qui provoque sa conduction : le transistor se comporte alors comme un interrupteur « fermé ». La bobine du relais est alimentée et la torpille avance !
Ceux qui bricolent un peut l’électronique auront compris l’utilité de ce condensateur et de la résistance : ces deux composants forment un temporisation dont la durée dépend de la valeur de chaque composant. Ici, il faut environ 20 secondes pour que le condensateur se charge complètement. Et lorsque ce but est atteint, plus aucun courant ne passe vers la base du transistor, ce qui est schématisé par un contact ouvert à la place du condensateur.
La conséquence est immédiate : la base du transistor n’étant plus alimentée, celui-ci s’ouvre, tel un interrupteur. La bobine n’est plus alimentée, ce qui provoque la retombée du relais. Le moteur s’arête en renvoyant un peut de courant qui est éliminé par la diode de roue libre. Quand au condensateur, il se décharge tranquillement dans la résistance de 10 kΩ, permettant un nouveau démarrage de la torpille.
Je pense que cette explication est suffisamment claire et imagée pour que tout le monde, y compris les personnes imperméables à l’électronique, comprenne le fonctionnement.
Si maintenant on fait le bilan des « plus » et des « moins », le résultat est plutôt positif !
- Le système au repos ne consomme rien bien que la batterie reste branchée ; il n’y a aucune préparation avant utilisation.
- La temporisation est stable dans des conditions normales mais évolue dans certain cas, ce qui donne des indications sur l’état du matériel !
Par exemple, une batterie mal chargée produit une temporisation plus courte, ainsi que le moteur bloqué (herbe dans l’hélice) qui fait chuter la tension batterie !
- A la fin de la temporisation, la torpille s’arrête, ce qui évite de courir après !!
- le montage tel que je l’ai réalisé dans la torpille est compact et beaucoup plus solide que l’ancien système, comme on peut le constater sur cette photo des deux montages cote à cote :
Les moins du système ???
Je vois juste l’obligation de rajouter des aimants sur les tubes lance torpille !
Une simple plaquette de PVC de 1mm d’épaisseur sert de base au montage.
Sur la face supérieure, on a la prise de charge collée sur la plaque, le condensateur et les deux résistances et la diode de protection du montage tout à droite.
Sur la face inférieure, on a la batterie, tout à gauche vers l’avant de la torpille, le transistor et le relais REED. Les connections sont réalisées avec du fils spécial pour le mini Wraping. L’ensemble du circuit est recouvert de vernis spécial pour circuit imprimés sur les deux faces, ce qui met les composants à l’abri de l’oxydation et des courts circuits.
Enfin, il reste de la place et de la marge en poids pour ajouter un petit lest en plomb collé contre la batterie ; cela améliore la stabilité de la torpille qui a tendance à tournée sur elle-même sous l’effet du couple de rotation de l’hélice.
La vue de côté montre bien la répartition des composants.
Il a fallu ensuite équiper chaque tube d’un petit aimant ! Voici le bloc des 4 TLT avant démonté.
Après repérage du sens des aimants, ceux-ci ont été collés à la cyano sur les tubes.
Ils sont disposés au-dessus des tubes supérieurs et au-dessous des tubes inférieurs de façon à éviter des interférences entre les tubes ! Car les relais REED réagissent au magnétisme des aimants aussi bien par-dessus que par-dessous !
Les aimants sont ensuite immobilisés par des morceaux de gaine thermo rétractable.
Du fait de la disposition des tubes, on comprend vite que lors de la mise au tube, la torpille est soumise aux champs magnétiques des 4 aimants ; ça vient de tous les côtés !!!
Il faut donc veiller au sens des aimants qui doivent tous avoir le même pôle orienté vers le tube !
C’est lors des premiers test sur le montage d’essais que j’ai constaté la possibilité de test de fonctionnement, qui se fait automatiquement lors de la mise au tube le la torpille :
Pour un pôle défini de l’aimant, lorsque celui-ci passe devant le relais REED de l’avant vers l’arrière, le champs magnétique de la bobine vient s’ajouter au champs magnétique de l’aimant , ce qui confirme le collage du relais et le fonctionnement de la torpille.
A contrario, lorsque ce même pôle de l’aimant passe devant le relais de l’arrière vers l’avant, le champs magnétique de l’aimant contrarie le champs magnétique de la bobine et provoque la retombée du relais et, donc, l’arrêt de la torpille !
Ors, c’est ce qui se passe lors de la mise au tube d’une torpille !
l’arrière de la torpille passe d’abord devant l’aimant, provoquant le démarrage de la torpille, jusqu’à ce que le relais REED dépasse l’aimant, en fin d’introduction de la torpille : la torpille s’arête ; on a donc bien un test de fonctionnement !
Et lors du tir, c’est l’inverse qui se produit et on a bien la mise en marche de la torpille !
On peut donc ajouter à la liste des avantages du système le fait qu’il n’est pas nécessaire de faire pivoter la torpille lors de l’introduction pour éviter le démarrage puis remettre la torpille en ligne pour obtenir le fonctionnement normal, comme c’est le cas sur les torpilles à notre ami Marcel !
Avant la mise en place des Aimants sur les tubes avant, le tube arrière avait lui aussi été équipé de son petit aimant.
Pourquoi l’arrière avant l’avant ? Parce que cela faisait un test intermédiaire avant généralisation du système et que l’arrière est plus facile à démonter que l’avant !
J’ai profité d’un dégagement existant en dessous du tube, au niveau de son emboîtement avec la coque. La fixation est assurée par une ligature en fil de cuivre, faute de place pour de la gaine thermo.
Aujourd’hui, le système est totalement validé suite au fonctionnement en bassin avec tirs sur cible lors de l’expo de SAINT-PRIEST le week-end dernier !
Il me reste juste à équiper 2 torpilles que je n’ai pas eu le temps de modifier avant l’expo…
Avant de conclure, deux photos qui en disent long sur l’opportunité de changer certains joints lorsqu’on démonte son modèle pour travaux ! Voici le joint de la vis de fermeture du LAUBIE, à côté d’un joint neuf !
Sous cet angle, on voit bien la déformation du joint usé ; il manque plus d’1mm de matière !! Il n’y avait pas encore de fuites, mais cela n’aurait probablement pas tardé…
Du coup, j’ai changé celui de l’U-47 qui était dans le même état (mais pas pire !) après 11 années d’utilisation !!!
Donc, avis aux possesseurs d’U-47, modifiés ou non, qui se ferme par la vis avant….
Cordialement de Jacky-Soum
Voici une nouvelle mise à jour de ce dossier avec Les nouvelles torpilles du LAUBIE !
Depuis sa construction, le LAUBIE tire des torpilles électrique dont la mise en marche s’effectue par le déplacement d’un petit aimant interne qui commute un ILS ; ce système a l’avantage d’être simple et bien adapté au système de tir par ressorts qui donne une poussée très puissante, provocant le déplacement de l’aimant par inertie.
Pour les révisions, c’est ici : viewtopic.php?f=6&t=362#p4096
Mais comme pour tout système quel qu’il soit, il y a les avantages et les inconvénients !
Et quand ces derniers supplantent les premiers, on réfléchit à une solution….
Passons en revue les problèmes que j’ai rencontré pendant ces 8 années d’utilisation :
- Tout d’abord, le fait que lorsqu’elle est tirée, la torpille ne s’arrête pas toute seule, ce qui a donné parfois des situations cocasses, (telle l’année dernière à PANZOULT, JOJO s’en souvient certainement…
) mais qui provoque soit la perte de la torpille (2 fois…) soit, à la longue, la destruction de la batterie Lipo qui va bien au-delà du seuil de décharge autorisé…. - Destruction du moteur et, parfois de la batterie, en cas de blocage de l’hélice par une herbe si on ne repêche pas la torpille rapidement.
- Et d’autre part, le montage « en l’air » de la batterie et de sa prise de charge forme un ensemble fragile !
- Idem pour l’ILS qui est maintenu en place uniquement par les fils !!!
J’ai donc eu tout le temps d’observer les systèmes utilisés par les copains et réfléchir à une solution qui allie les avantages des uns en éliminant les inconvénients des autres et j’ai mis au point un petit montage simple et robuste qui permet en plus un test aisé du fonctionnement.
Le cœur du système adopté est un relais REED qui, contrairement au relais que tout le monde a vu et (ou) manipulé à un moment donné, ne comporte pas de carcasse métallique dont une partie mobile entraîne le contact lorsque la bobine est alimentée, mais un simple ILS logé au milieu d’une bobine.
Le voici au centre du montage ; c'est le boîtier noir qui a la forme d’un circuit intégré classique à 14 pattes.
L’avantage d’un tel relais, c’est qu’il peut être activé par un aimant que l’on passe à proximité !
Et, mieux encore, cet aimant peut aussi provoquer la retombée du relais, et donc, l’arrêt du système ! Un détail intéressant, comme on le verra plus loin…
Voyons le schéma de principe :
L’analyse rapide montre qu’au repos, la batterie est totalement isolée du circuit par le contact « normalement ouvert » du relais ; il n’est donc pas nécessaire de la débrancher lorsque la torpille est stockée…
La partie surlignée en vert montre le contact « normalement fermé » du relais qui ferme une boucle comprenant un condensateur et une résistance : c’est le circuit de décharge du condensateur ; son utilité sera évidente plus tard.
Ensuite, on remarque un transistor monté en « émetteur commun » avec la bobine du relais reliée sur son « collecteur 'C'» et une résistance sur sa « base 'B'».
Enfin, en parallèle sur cet ensemble, on a le moteur de la torpille et une diode « de roue libre » qui a pour mission de protéger le montage. (On n’entrera pas dans le détail de fonctionnement de cette partie)
Voyons maintenant comment ça marche !
Lorsqu’on passe l’aimant près de la torpille, l’ILS se ferme, alimentant le circuit. Le moteur tourne et le circuit du transistor est alimenté lui aussi et c’est ce circuit qui est important pour la suite….
….Car le condensateur précédemment déchargé par le relais au repos, se comporte comme un fils, comme représenté sur le schéma suivant ; dans ce cas, la base du transistor est alimenté à travers la résistance de 100 kΩ, ce qui provoque sa conduction : le transistor se comporte alors comme un interrupteur « fermé ». La bobine du relais est alimentée et la torpille avance !
Ceux qui bricolent un peut l’électronique auront compris l’utilité de ce condensateur et de la résistance : ces deux composants forment un temporisation dont la durée dépend de la valeur de chaque composant. Ici, il faut environ 20 secondes pour que le condensateur se charge complètement. Et lorsque ce but est atteint, plus aucun courant ne passe vers la base du transistor, ce qui est schématisé par un contact ouvert à la place du condensateur.
La conséquence est immédiate : la base du transistor n’étant plus alimentée, celui-ci s’ouvre, tel un interrupteur. La bobine n’est plus alimentée, ce qui provoque la retombée du relais. Le moteur s’arête en renvoyant un peut de courant qui est éliminé par la diode de roue libre. Quand au condensateur, il se décharge tranquillement dans la résistance de 10 kΩ, permettant un nouveau démarrage de la torpille.
Je pense que cette explication est suffisamment claire et imagée pour que tout le monde, y compris les personnes imperméables à l’électronique, comprenne le fonctionnement.
Si maintenant on fait le bilan des « plus » et des « moins », le résultat est plutôt positif !
- Le système au repos ne consomme rien bien que la batterie reste branchée ; il n’y a aucune préparation avant utilisation.
- La temporisation est stable dans des conditions normales mais évolue dans certain cas, ce qui donne des indications sur l’état du matériel !
Par exemple, une batterie mal chargée produit une temporisation plus courte, ainsi que le moteur bloqué (herbe dans l’hélice) qui fait chuter la tension batterie !
- A la fin de la temporisation, la torpille s’arrête, ce qui évite de courir après !!
- le montage tel que je l’ai réalisé dans la torpille est compact et beaucoup plus solide que l’ancien système, comme on peut le constater sur cette photo des deux montages cote à cote :
Les moins du système ???
Je vois juste l’obligation de rajouter des aimants sur les tubes lance torpille !
Une simple plaquette de PVC de 1mm d’épaisseur sert de base au montage.
Sur la face supérieure, on a la prise de charge collée sur la plaque, le condensateur et les deux résistances et la diode de protection du montage tout à droite.
Sur la face inférieure, on a la batterie, tout à gauche vers l’avant de la torpille, le transistor et le relais REED. Les connections sont réalisées avec du fils spécial pour le mini Wraping. L’ensemble du circuit est recouvert de vernis spécial pour circuit imprimés sur les deux faces, ce qui met les composants à l’abri de l’oxydation et des courts circuits.
Enfin, il reste de la place et de la marge en poids pour ajouter un petit lest en plomb collé contre la batterie ; cela améliore la stabilité de la torpille qui a tendance à tournée sur elle-même sous l’effet du couple de rotation de l’hélice.
La vue de côté montre bien la répartition des composants.
Il a fallu ensuite équiper chaque tube d’un petit aimant ! Voici le bloc des 4 TLT avant démonté.
Après repérage du sens des aimants, ceux-ci ont été collés à la cyano sur les tubes.
Ils sont disposés au-dessus des tubes supérieurs et au-dessous des tubes inférieurs de façon à éviter des interférences entre les tubes ! Car les relais REED réagissent au magnétisme des aimants aussi bien par-dessus que par-dessous !
Les aimants sont ensuite immobilisés par des morceaux de gaine thermo rétractable.
Du fait de la disposition des tubes, on comprend vite que lors de la mise au tube, la torpille est soumise aux champs magnétiques des 4 aimants ; ça vient de tous les côtés !!!
Il faut donc veiller au sens des aimants qui doivent tous avoir le même pôle orienté vers le tube !
C’est lors des premiers test sur le montage d’essais que j’ai constaté la possibilité de test de fonctionnement, qui se fait automatiquement lors de la mise au tube le la torpille :
Pour un pôle défini de l’aimant, lorsque celui-ci passe devant le relais REED de l’avant vers l’arrière, le champs magnétique de la bobine vient s’ajouter au champs magnétique de l’aimant , ce qui confirme le collage du relais et le fonctionnement de la torpille.
A contrario, lorsque ce même pôle de l’aimant passe devant le relais de l’arrière vers l’avant, le champs magnétique de l’aimant contrarie le champs magnétique de la bobine et provoque la retombée du relais et, donc, l’arrêt de la torpille !
Ors, c’est ce qui se passe lors de la mise au tube d’une torpille !
l’arrière de la torpille passe d’abord devant l’aimant, provoquant le démarrage de la torpille, jusqu’à ce que le relais REED dépasse l’aimant, en fin d’introduction de la torpille : la torpille s’arête ; on a donc bien un test de fonctionnement !
Et lors du tir, c’est l’inverse qui se produit et on a bien la mise en marche de la torpille !
On peut donc ajouter à la liste des avantages du système le fait qu’il n’est pas nécessaire de faire pivoter la torpille lors de l’introduction pour éviter le démarrage puis remettre la torpille en ligne pour obtenir le fonctionnement normal, comme c’est le cas sur les torpilles à notre ami Marcel !
Avant la mise en place des Aimants sur les tubes avant, le tube arrière avait lui aussi été équipé de son petit aimant.
Pourquoi l’arrière avant l’avant ? Parce que cela faisait un test intermédiaire avant généralisation du système et que l’arrière est plus facile à démonter que l’avant !
J’ai profité d’un dégagement existant en dessous du tube, au niveau de son emboîtement avec la coque. La fixation est assurée par une ligature en fil de cuivre, faute de place pour de la gaine thermo.
Aujourd’hui, le système est totalement validé suite au fonctionnement en bassin avec tirs sur cible lors de l’expo de SAINT-PRIEST le week-end dernier !
Il me reste juste à équiper 2 torpilles que je n’ai pas eu le temps de modifier avant l’expo…
Avant de conclure, deux photos qui en disent long sur l’opportunité de changer certains joints lorsqu’on démonte son modèle pour travaux ! Voici le joint de la vis de fermeture du LAUBIE, à côté d’un joint neuf !
Sous cet angle, on voit bien la déformation du joint usé ; il manque plus d’1mm de matière !! Il n’y avait pas encore de fuites, mais cela n’aurait probablement pas tardé…
Du coup, j’ai changé celui de l’U-47 qui était dans le même état (mais pas pire !) après 11 années d’utilisation !!!
Donc, avis aux possesseurs d’U-47, modifiés ou non, qui se ferme par la vis avant….
Cordialement de Jacky-Soum
"Où mon chapeau passe, la pluie trépasse !"
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Super le petit montage pour tes torpilles ,à la demande de notre ami Jean luc j'avais construit un circuit similaire mais avec un 555 en guise de temporisateur;
Ce qui est très fort dans ta solution c'est que le montage est encore plus simple, notre ami Jean Luc va pouvoir s'y coller.
Félicitation.
Ce qui est très fort dans ta solution c'est que le montage est encore plus simple, notre ami Jean Luc va pouvoir s'y coller.
Félicitation.
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Excellent Jacky je prends note
je prends note
Dernière modification par Rackham le 26 avr. 2015 23:36, modifié 1 fois.
Haddock : Messieurs, Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Bonjour, 
Très bien, encore du beau travail.
Très bien, encore du beau travail.
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Vivement le mois de juin pour voir le fonctionnement en vrai. 
Mes sous-marins en état de marche :
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
Autres modèles : quadricoptère MiniDex amphibie full carbon, Quad Alien 680 pliable slowfly + Gopro
J-Pay quad 250 racer, Hexacoptère Typhoon H Yunnec.
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
Autres modèles : quadricoptère MiniDex amphibie full carbon, Quad Alien 680 pliable slowfly + Gopro
J-Pay quad 250 racer, Hexacoptère Typhoon H Yunnec.
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
BIJOUR
JE ne comprends pas comment tu n'y a pas pensé avant ???????????????????? et pourtant je surveille
a voir dans le futur
quel bosseur ce retraité tout neuf on verra si dans le temps cela dure!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
bye
JE ne comprends pas comment tu n'y a pas pensé avant ???????????????????? et pourtant je surveille
a voir dans le futur
quel bosseur ce retraité tout neuf on verra si dans le temps cela dure!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
bye
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Bonjour 
pour répondre à Gilles et sans vexer Jacky , mes torpilles sont à L'échelle au 1/40 ème les siennes sont plus grosses, je suis sur que si je mets ce qu'il a fait au montage pour ces torpilles, les miennes couleraient immédiatement 
pour répondre à Gilles et sans vexer Jacky , mes torpilles sont à L'échelle au 1/40 ème les siennes sont plus grosses, je suis sur que si je mets ce qu'il a fait au montage pour ces torpilles, les miennes couleraient immédiatement tout batiment de surface est une cible potentiel pour les sous-mariniers
-
Sherco
- Messages : 227
- Inscription : 12 nov. 2012 18:03
- Localisation : LOIR ET CHER -41- ET DEUX SEVRES -79-
Re: mon LAUBIE, ex U766 sur base U47 ROBBE
Encore un travail de pro!! C'est une G7e???
