Le poseur de mines RUBIS
Re: Le poseur de mines RUBIS
Les'boules de Noël c'est creux non ? On les rempli d'helium et hop ça devient des bombes inversées
Sinon très beau boulot
Sinon très beau boulot
Re: Le poseur de mines RUBIS
Oh ouais, et avant, un Rubis qui plane.
Mes sous-marins en état de marche :
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
Autres modèles : quadricoptère MiniDex amphibie full carbon, Quad Alien 680 pliable slowfly + Gopro
J-Pay quad 250 racer, Hexacoptère Typhoon H Yunnec.
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
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- Jacky-Soum
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- Localisation : La GUERCHE sur L'AUBOIS, région centre
Re: Le poseur de mines RUBIS
Salut les copains !
Et bien, je vois que la chaleur ne réduit pas votre imagination !!!!
Au juste, Pierre, où en es-tu de la remise en état de tes 2 sous-marins ??
C'est que j'aime bien les voir naviguer !
Amicalement de Jacky-Soum
Et bien, je vois que la chaleur ne réduit pas votre imagination !!!!
Au juste, Pierre, où en es-tu de la remise en état de tes 2 sous-marins ??
C'est que j'aime bien les voir naviguer !
Amicalement de Jacky-Soum
"Où mon chapeau passe, la pluie trépasse !"
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
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"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
Re: Le poseur de mines RUBIS
Salut Jacky.
Le Seaview est déjà opérationnel et a participé à deux expos avec succès.
Le Surcouf est encore en standby. La coque est réparée, mais il me manque du temps pour le remonter.
Je me suis plutôt occupé d'un "Pibber" en hydrojet qui m'avait fait de l'oeil.
Le Seaview est déjà opérationnel et a participé à deux expos avec succès.
Le Surcouf est encore en standby. La coque est réparée, mais il me manque du temps pour le remonter.
Je me suis plutôt occupé d'un "Pibber" en hydrojet qui m'avait fait de l'oeil.
Mes sous-marins en état de marche :
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- Jacky-Soum
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Bonjour tout le monde !
Je profite d’une attente de matière pour mettre à jour ce dossier car la construction des chaises de mines a bien avancé.
En 1 après-midi, les 68 bras sont collés sur les bases, en utilisant le petit montage présenté plus tôt.
Un nouveau passage sur la fraiseuse est ensuite nécessaire pour dégager la zone entre les bras ; là se trouve une petite différence entre les mines « fonctionnelles » et les 2 mines de présentation : sur cette photo, vous avez à gauche une chaise non fraisée, puis les 2 chaises de présentation au centre et à droite une chaise fonctionnelle.
Sur cette dernière, la zone arrondie permettra la mise en place du petit bout de spaghetti de vérouillage.
Vient ensuite la tache fastidieuse de coupe des galets de guidage des mines.
A raison de 6 galets par chaise, ça en fait un joli paquet à couper et, pour me faciliter la tâche, j’ai réalisé un petit gabarit de coupe avec une chute de PVC.
Sitôt les galets posés, j’ai réalisé un 1er pylône en PVC de 14mm, afin de réaliser le tout premier test de fonctionnement d’une mine.
Sur cette photo, on a donc à gauche une mine équipée d’un fil d’un mètre, la chaise au centre et le pylône à droite, ainsi qu’une petite vis pointeau sans tête en laiton.
Le pylône comporte 2 perçages dont seul celui du haut est traversant ; c’est ici que sera engagé le bout de spaghetti.
Celui du bas est borgne et fileté M2 jusqu’à la fente axiale ; il recevra la vis pointeau sans tête visible ici à droite.
Notez aussi l’épaulement à la base du pylône qui permet le centrage dans la chaise.
Sous cet angle, on voit bien la fente de 2mm de large sur la Presque totalité de la hauteur du pylône, ainsi que la forme en creux du sommet du pylône, destinée à épouser au mieux la forme de la mine.
Le pylône est collé dans une chaise ; on remarque le dégagement fraisé au centre du pylône afin de faciliter la mise en place de la base de la mine.
Bien entendu, le pylône a été positionné de façon à avoir les 2 trous disposés en face du dégagement fraisé entre les bras !
La vis pointeau est mise en place sans être vissée à fond…
…. Afin de laisser un passage libre au fond de la fente du pylône….
….Ce qui permet de positionner la boucle du fil de retenu de la mine. La vis est ensuite vissée à fond, ce qui assure la fixation du fil.
Ensuite, il faut enrouler le fil autour du pylône avant d’y fixer la mine avec le bout de spaghetti.
Pour cette tâche, un outil adapté est indispensable !!
Voici l’outil provisoire réalisé avec une chute de PVC de 1mm ; malgré sa grande simplicité, il remplit bien son rôle !
L’encoche permet de guider le fil qu’on enroule en faisant tourner la chaise entre les doigts. A terme, je prévois de réaliser un outil plus complet, avec un guide permettant de garder le fil tendu pendant l’opération d’enroulage.
Voyons maintenant la deuxième utilisation de la vis pointeau.
Dans le cas présent, le fil de retenu de la mine mesure 1 mètre, ce qui permet de l’immerger dans un plan d’eau d’au moins cette profondeur, afin que la mine soit juste au-dessous de la surface.
Mais si la profondeur du plan d’eau est inférieure à 1 mètre, il faut pouvoir régler la profondeur d’immersion de la mine, comme sur les réelles !!
Supposons que cette profondeur d’immersion soit de 30 cm, ce qui correspond à la longueur de fil restant à enrouler sur cette photo.
Après avoir immobilisé le fil afin qu’il ne se déroule pas, la vis est desserrée jusqu’à libérer le passage au fond de la fente.
Le fil est engagé au fond de la fente…
….Puis la vis est serrée à fond…
….Avant de finir d’enrouler le fil et de positionner la mine sur le sommet du pylône.
La fonction de préréglage de la profondeur d’immersion est parfaitement assurée !
Il ne reste plus qu’à engager le bout de spaghetti dans le trou du haut pour retenir la mine qui est alors prête à fonctionner !
Mais avant la mise à l’eau, les mines sont équipées de leurs antennes de mise à feu. Pour ce faire, elles sont percées de 4 trous « en couronne » sur la fraiseuse.
Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, les mors du mandrin ne serrent pas la mine, mais sont là juste pour la centrer.
C’est un ressort qui maintient la mine en place pendant les perçages…..
…Ce ressort étant accroché à son autre extrémité à la broche et équipé d’une « tirette » qui permet de le décrocher sans qu’il ne se sauve !
Ensuite, c’est retour à la table pour coupe et collage des aiguilles qui servent d’antennes…
Ainsi préparée, la mine est pesée afin d’avoir une petite idée du poids final : là, à 8,5gr elle flotte !
Un test rapide d’immersion dans un verre d’eau montre qu’il faut lui ajouter 5,5gr pour qu’elle soit « en équilibre » dans l’eau.
Sachant que le poids « apparent » maximum permis par le système de compensation du sous-marin est de 6,5gr par mine, le lest à ajouter à chaque mine est donc de 5,5 + 6,5 = 12gr maxi pour un poids total de 20,5gr.
En fouillant dans le stock de lests divers, je dégote un morceau de 9,9gr qui sera suffisant pour les tests.
Le lest est fixé provisoirement sous la chaise avec un élastique, le tout est mis à tremper dans un grand verre d’eau et le chrono est lancé !
Là, c’est long !!!
Très long !!!!
Beaucoup trop long : il faut 2h30 avant que le bout de spaghetti cède et libère la mine !!
Bon, pas de panique, il y a plusieurs axes d’action pour raccourcir ce délai, soit :
- Dégager davantage le bout de spaghetti au niveau de la liaison « base de la mine – pylône » afin qu’il s’imprègne plus facilement.
- Précuire légèrement le spaghetti avant mise en place dans les mines.
- Tremper les mines pendant « un certain temps » avant leur mise en place dans le sous-marin.
Ce sera probablement un mix des 3 solutions qui sera appliqué.
Ensuite, je me suis attaqué à la résolution de l’autre problème : Intégrer le lest à la chaise.
Connaissant la densité du plomb (11,35) et la forme imposée du lest étant une rondelle devant prendre place à la base du pylône, un rapide calcul donne une rondelle de 22mm de diamètre extérieur et 8mm de diamètre intérieur (il faudra épauler la base du pylône, mais ce n’est pas un problème) pour 3,2mm d’épaisseur !
Bon, cela semble jouable et, pour fabriquer plus facilement les 32 lests, je réalise un moule en aluminium.
Et c’est la fraiseuse qui s’y colle, en tenant compte de ses limites mécanique !!
On notera, en haut de la photo, la présence d’un serre-joint pour immobiliser la tête de fraisage….
Là, je travaille vraiment au-delà des limites de la machine !!!
Mais en y allant doucement, on y arrive…
Sitôt le moule terminé, 12gr de plomb sont fondus dedans. Et après ébavurage, le lest pèse encore 10,5gr, ce qui est suffisant pour un test.
Cependant, le doute me prend quand je manipule cette rondelle ; on a beau en connaitre les dimensions, on est parfois surpris de constater combien 3mm c’est épais !!!
Et la mise en place dans le fond d’une chaise confirme mon inquiétude !
C’est trop épais et ça mange toute la place nécessaire à l’enroulage du fil en-dessous de la fente du pylône, ce qui interdit le réglage présenté plus haut !!
Mais, encore une fois, pas de panique !!
Comme il n’y a pas de problème sans solution, je me dis que le problème, justement, c’est la légèreté de la chaise !
La solution est donc de fabriquer le pylône en laiton et non en PVC, comme sur le prototype !
Sitôt dit, sitôt fait !!
Le pylône en PVC pèse 2,2gr et le même réalisé en laiton de diamètre 10mm pèse 5,3gr soit 3,1gr à retirer au lest !
Bien sûr, ce n’est pas suffisant, mais le pylône réalisé en laiton de diamètre 14mm va peser environ 11gr soit 8,8gr de plus que le PVC !
Et là, si on retire ce poids du lest initial de 12gr on tombe à seulement 3,2gr de plomb à caser dans le bas de la chaise, ce qui est beaucoup plus confortable !
Donc, commande de rond de laiton en diamètre 14mm, à ce jour en attente de livraison…..
La suite dès réception de la matière !
Cordialement de Jacky-Soum
Je profite d’une attente de matière pour mettre à jour ce dossier car la construction des chaises de mines a bien avancé.
En 1 après-midi, les 68 bras sont collés sur les bases, en utilisant le petit montage présenté plus tôt.
Un nouveau passage sur la fraiseuse est ensuite nécessaire pour dégager la zone entre les bras ; là se trouve une petite différence entre les mines « fonctionnelles » et les 2 mines de présentation : sur cette photo, vous avez à gauche une chaise non fraisée, puis les 2 chaises de présentation au centre et à droite une chaise fonctionnelle.
Sur cette dernière, la zone arrondie permettra la mise en place du petit bout de spaghetti de vérouillage.
Vient ensuite la tache fastidieuse de coupe des galets de guidage des mines.
A raison de 6 galets par chaise, ça en fait un joli paquet à couper et, pour me faciliter la tâche, j’ai réalisé un petit gabarit de coupe avec une chute de PVC.
Sitôt les galets posés, j’ai réalisé un 1er pylône en PVC de 14mm, afin de réaliser le tout premier test de fonctionnement d’une mine.
Sur cette photo, on a donc à gauche une mine équipée d’un fil d’un mètre, la chaise au centre et le pylône à droite, ainsi qu’une petite vis pointeau sans tête en laiton.
Le pylône comporte 2 perçages dont seul celui du haut est traversant ; c’est ici que sera engagé le bout de spaghetti.
Celui du bas est borgne et fileté M2 jusqu’à la fente axiale ; il recevra la vis pointeau sans tête visible ici à droite.
Notez aussi l’épaulement à la base du pylône qui permet le centrage dans la chaise.
Sous cet angle, on voit bien la fente de 2mm de large sur la Presque totalité de la hauteur du pylône, ainsi que la forme en creux du sommet du pylône, destinée à épouser au mieux la forme de la mine.
Le pylône est collé dans une chaise ; on remarque le dégagement fraisé au centre du pylône afin de faciliter la mise en place de la base de la mine.
Bien entendu, le pylône a été positionné de façon à avoir les 2 trous disposés en face du dégagement fraisé entre les bras !
La vis pointeau est mise en place sans être vissée à fond…
…. Afin de laisser un passage libre au fond de la fente du pylône….
….Ce qui permet de positionner la boucle du fil de retenu de la mine. La vis est ensuite vissée à fond, ce qui assure la fixation du fil.
Ensuite, il faut enrouler le fil autour du pylône avant d’y fixer la mine avec le bout de spaghetti.
Pour cette tâche, un outil adapté est indispensable !!
Voici l’outil provisoire réalisé avec une chute de PVC de 1mm ; malgré sa grande simplicité, il remplit bien son rôle !
L’encoche permet de guider le fil qu’on enroule en faisant tourner la chaise entre les doigts. A terme, je prévois de réaliser un outil plus complet, avec un guide permettant de garder le fil tendu pendant l’opération d’enroulage.
Voyons maintenant la deuxième utilisation de la vis pointeau.
Dans le cas présent, le fil de retenu de la mine mesure 1 mètre, ce qui permet de l’immerger dans un plan d’eau d’au moins cette profondeur, afin que la mine soit juste au-dessous de la surface.
Mais si la profondeur du plan d’eau est inférieure à 1 mètre, il faut pouvoir régler la profondeur d’immersion de la mine, comme sur les réelles !!
Supposons que cette profondeur d’immersion soit de 30 cm, ce qui correspond à la longueur de fil restant à enrouler sur cette photo.
Après avoir immobilisé le fil afin qu’il ne se déroule pas, la vis est desserrée jusqu’à libérer le passage au fond de la fente.
Le fil est engagé au fond de la fente…
….Puis la vis est serrée à fond…
….Avant de finir d’enrouler le fil et de positionner la mine sur le sommet du pylône.
La fonction de préréglage de la profondeur d’immersion est parfaitement assurée !
Il ne reste plus qu’à engager le bout de spaghetti dans le trou du haut pour retenir la mine qui est alors prête à fonctionner !
Mais avant la mise à l’eau, les mines sont équipées de leurs antennes de mise à feu. Pour ce faire, elles sont percées de 4 trous « en couronne » sur la fraiseuse.
Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, les mors du mandrin ne serrent pas la mine, mais sont là juste pour la centrer.
C’est un ressort qui maintient la mine en place pendant les perçages…..
…Ce ressort étant accroché à son autre extrémité à la broche et équipé d’une « tirette » qui permet de le décrocher sans qu’il ne se sauve !
Ensuite, c’est retour à la table pour coupe et collage des aiguilles qui servent d’antennes…
Ainsi préparée, la mine est pesée afin d’avoir une petite idée du poids final : là, à 8,5gr elle flotte !
Un test rapide d’immersion dans un verre d’eau montre qu’il faut lui ajouter 5,5gr pour qu’elle soit « en équilibre » dans l’eau.
Sachant que le poids « apparent » maximum permis par le système de compensation du sous-marin est de 6,5gr par mine, le lest à ajouter à chaque mine est donc de 5,5 + 6,5 = 12gr maxi pour un poids total de 20,5gr.
En fouillant dans le stock de lests divers, je dégote un morceau de 9,9gr qui sera suffisant pour les tests.
Le lest est fixé provisoirement sous la chaise avec un élastique, le tout est mis à tremper dans un grand verre d’eau et le chrono est lancé !
Là, c’est long !!!
Très long !!!!
Beaucoup trop long : il faut 2h30 avant que le bout de spaghetti cède et libère la mine !!
Bon, pas de panique, il y a plusieurs axes d’action pour raccourcir ce délai, soit :
- Dégager davantage le bout de spaghetti au niveau de la liaison « base de la mine – pylône » afin qu’il s’imprègne plus facilement.
- Précuire légèrement le spaghetti avant mise en place dans les mines.
- Tremper les mines pendant « un certain temps » avant leur mise en place dans le sous-marin.
Ce sera probablement un mix des 3 solutions qui sera appliqué.
Ensuite, je me suis attaqué à la résolution de l’autre problème : Intégrer le lest à la chaise.
Connaissant la densité du plomb (11,35) et la forme imposée du lest étant une rondelle devant prendre place à la base du pylône, un rapide calcul donne une rondelle de 22mm de diamètre extérieur et 8mm de diamètre intérieur (il faudra épauler la base du pylône, mais ce n’est pas un problème) pour 3,2mm d’épaisseur !
Bon, cela semble jouable et, pour fabriquer plus facilement les 32 lests, je réalise un moule en aluminium.
Et c’est la fraiseuse qui s’y colle, en tenant compte de ses limites mécanique !!
On notera, en haut de la photo, la présence d’un serre-joint pour immobiliser la tête de fraisage….
Là, je travaille vraiment au-delà des limites de la machine !!!
Mais en y allant doucement, on y arrive…
Sitôt le moule terminé, 12gr de plomb sont fondus dedans. Et après ébavurage, le lest pèse encore 10,5gr, ce qui est suffisant pour un test.
Cependant, le doute me prend quand je manipule cette rondelle ; on a beau en connaitre les dimensions, on est parfois surpris de constater combien 3mm c’est épais !!!
Et la mise en place dans le fond d’une chaise confirme mon inquiétude !
C’est trop épais et ça mange toute la place nécessaire à l’enroulage du fil en-dessous de la fente du pylône, ce qui interdit le réglage présenté plus haut !!
Mais, encore une fois, pas de panique !!
Comme il n’y a pas de problème sans solution, je me dis que le problème, justement, c’est la légèreté de la chaise !
La solution est donc de fabriquer le pylône en laiton et non en PVC, comme sur le prototype !
Sitôt dit, sitôt fait !!
Le pylône en PVC pèse 2,2gr et le même réalisé en laiton de diamètre 10mm pèse 5,3gr soit 3,1gr à retirer au lest !
Bien sûr, ce n’est pas suffisant, mais le pylône réalisé en laiton de diamètre 14mm va peser environ 11gr soit 8,8gr de plus que le PVC !
Et là, si on retire ce poids du lest initial de 12gr on tombe à seulement 3,2gr de plomb à caser dans le bas de la chaise, ce qui est beaucoup plus confortable !
Donc, commande de rond de laiton en diamètre 14mm, à ce jour en attente de livraison…..
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Cordialement de Jacky-Soum
"Où mon chapeau passe, la pluie trépasse !"
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Ha ! ! ça fume quelque part du coté de la Guerche , on verra peut être cela a Panzoult ; faut il un bateau de sauvetage pour tout récupérer??? Super ta démo en imagesssss , moi je me bat pour mettre deux tube d'étambot sur un soum car il me manque 2cm de long ; j'aurais du le faire en spaghetti pour la rallonge .
bye Jacky à bientôt
bye Jacky à bientôt
Re: Le poseur de mines RUBIS
Vla qu'il va nous faire des spaghettis avant de mettre son sous-marin à l'eau.
Pourvu qu'il ne nous oblige pas à bouffer les restes.
Pourvu qu'il ne nous oblige pas à bouffer les restes.
Mes sous-marins en état de marche :
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Moi je trouve que ce sous marin a plutôt bonne mine...
Sous marin imaginaire en PVC (désarmé)
Hunley en métal au 1/8
Kilo au 1/144
Un Subracer
Jouets pour mes petits-enfants
Hunley en métal au 1/8
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Jouets pour mes petits-enfants
Re: Le poseur de mines RUBIS
Mine de rien ça avance cette histoire