Le poseur de mines RUBIS
Re: Le poseur de mines RUBIS
Bonsoir à tous,
bon, enfin, je viens de comprendre le truc de la porte ; j'y ai mis le temps mais l'essentiel c'est que.......... . Il faut dire que j'avais la tête prise par des aneries qui ne sont plus du ressort d'un retraité
bon, enfin, je viens de comprendre le truc de la porte ; j'y ai mis le temps mais l'essentiel c'est que.......... . Il faut dire que j'avais la tête prise par des aneries qui ne sont plus du ressort d'un retraité
jean-Charles
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inactif depuis été 2014
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- Jacky-Soum
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Salut Papy !
Le mécanisme d'éjection est au point et en photos depuis vendredi dernier ; donc bientôt visible ici !
Et je suis en train de réaliser le système de déclenchement du tir, basé sur le même principe que celui de la porte : une came qui pousse un chariot.
Dans tous les cas, je fais mon possible pour que ce soit fonctionnel pour MEAUX !
Quand au chapeau Mexicain, tu fais comme tu le sens !
Salut Sinago !
Cordialement de jacky-Soum
Pour le tir de la torpille, c'est en cours de montage !papy94 a écrit :salut Jacky
super ton montage et nous pouvons voir que tu as réfléchit un max a ton super système
par contre comment tu déclenches le lancement de la torpille
bravo, continu a mettre ton chapeau pour protéger ton cerveau, je vais de ce pas acheter un chapeau mexicain
Le mécanisme d'éjection est au point et en photos depuis vendredi dernier ; donc bientôt visible ici !
Et je suis en train de réaliser le système de déclenchement du tir, basé sur le même principe que celui de la porte : une came qui pousse un chariot.
Dans tous les cas, je fais mon possible pour que ce soit fonctionnel pour MEAUX !
Quand au chapeau Mexicain, tu fais comme tu le sens !
Salut Sinago !
Comme tu le dis toi même, le principal c'est de comprendre ! Dans le cas présent, le temps nécessaire importe peu !Sinago86 a écrit :Bonsoir à tous,
bon, enfin, je viens de comprendre le truc de la porte ; j'y ai mis le temps mais l'essentiel c'est que.......... . Il faut dire que j'avais la tête prise par des aneries qui ne sont plus du ressort d'un retraité
Cordialement de jacky-Soum
"Où mon chapeau passe, la pluie trépasse !"
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
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- Jacky-Soum
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Bonjour tout le monde !
Voici enfin la suite de la partie technique de la tourelle TLT que je vais scinder en deux parties distinctes, du fait du nombre important de photos ;
- d’abord le système de chasse de la torpille
- et, ensuite, le dispositif de déclenchement du tir.
Désolé Papy, tu vas devoir attendre encore quelques jours pour savoir !!!
Mais posons déjà les données du problème, en photos :
Voici cote à cote la tourelle TLT et une torpille qui devra être tirée : On remarque immédiatement que les longueurs sont quasi identiques !!!
Ce qui va forcément poser problème pour loger le ressort de chasse car, je le rappel, il n’y a pas d’air comprimé dans ce modèle et je reste fidèle (par obligation dans le cas présent…) à la chasse par ressort.
La torpille engagée dans le tube confirme le problème : elle arrive au raz de la porte….
….Et le piston chargé de la pousser est en butée à l’arrière du tube !! Y a pas de place pour loger un ressort !!
Il a donc fallu trouver une solution pour loger deux ressorts à l’extérieur du tube mais pas en action directe car il y aurait une perte importante de la course du piston.
En effet, le piston doit pousser le plus loin possible la torpille pour assurer sa complète sortie du tube, ce qui donne une course de 140mm.
Hors, les ressorts ne peuvent en aucun cas fournir directement cette course car, qu’ils soient du type à compression ou du type à extension, il y a toujours une longueur résiduelle au repos !!!
Dans le cas présent, les ressorts à extension que j’utilise mesurent 47mm au repos, soit, si je les utilise tels quel, une course possible du piston de 140 – 47 = 93mm, insuffisante pour expulser à coup sur la torpille !
De plus, 93mm d’allongement, cela représente presque deux fois la longueur au repos des ressorts, ce qui amène inéluctablement à leur destruction par déformation excessive !
Doubler la longueur du ressort lors de son utilisation est bien souvent la limite à ne pas dépasser, ce qui donne dans le cas présent, 47mm au repos + 47mm d’extension = 94mm utile….. Très inférieur aux 140mm de course du piston !
Pour contourner ce problème, je me suis inspiré de « l’arc compound » , l’arme que RAMBO utilise dans une de ses aventures pour descendre, entre autre, un hélicoptère de combat RUSSE. (Je connais mes classiques !!)
Il y a ici toute une série de photos et de descriptif de ce type d’arc : http://www.bing.com/images/search?q=arc ... &FORM=IGRE
J’ai eu l’occasion d’en essayer un une fois et c’est extraordinaire la puissance qu’il développe grâce à son système de poulies, alors que l’effort pour le bander est inférieur à celui nécessaire pour bander un arc de 35 livres !!!
Appliqué au problème qui nous intéresse, cela se traduit par un doublage de la course du piston par rapport à la course des ressorts, ce qui permet d’obtenir la course complète du piston.
Voici les éléments qui m’ont permis d’atteindre cet objectif :
On retrouve le piston sur lequel les deux vis à tête CHC provisoires ont été remplacées par deux vis usinées en inox sur lesquelles sont fixés les deux câbles. Observez bien la tige implantée à l’arrière du piston ; l’encoche qu’on distingue assure le maintien en position armée du piston, comme on le verra plus loin.
On a ensuite les deux ressorts, équipés chacun d’une petite poulie prisonnière d’une chape réalisée en laiton de 1mm. C’est elle qui va se charger de « multiplier » la course de l’ensemble.
Pour compléter le dispositif et inverser le sens du mouvement, deux chapes en laiton de 1mm supportent chacune une seconde poulie et un point d’accroche pour le câble.
Et voici l’ensemble monté sur la tourelle. Les ressorts sont accrochés à gauche à des vis fixées à l’extrémité arrière du TLT. C’est le point d’application de l’effort de traction. A droite, on distingue nettement les extrémités « libres » des câbles, accrochées aux « chapes d’inversion ». Celles-ci sont fixées par des vis M2 aux fausses portes des TLT de 400mm. Et on suit bien le cheminement des câbles depuis ce point d’attache jusqu’au poulies des chapes d’inversion.
Sous cet angle, on distingue tout à droite, en dessous de la poulie d’inversion, la vis fixée au côté droit du piston, sur laquelle l’autre extrémité du câble est accrochée.
Comment ça marche ?? Pour commencer, on ouvre la porte, afin de laisser le passage libre au levier d’armement que j’utilise aussi sur mon LAUBIE pour armer les cinq TLT. On remarque là, que le petit levier en laiton qui manœuvre la porte bascule juste ce qu'il faut pour laisser le passage à la vis latérale du piston !
Tiens, une photo vite faite, (pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore) du levier d’armement des TLT ; ce sont juste deux morceaux de rond de bois assemblés et peints en gris.
Lorsque l’extrémité du levier est introduite dans le TLT, on pousse délicatement, bien en ligne pour ne rien casser.
Un tiers environ de la course du piston….
….Deux tiers de la course ; on remarque déjà la différence entre les distances parcourues par le piston d’une part et par les ressorts d’autre part…
…A fond de course, le piston bute au fond du TLT et son doigt arrière crochète la gâchette : le contrat est rempli ! Le piston a parcouru 140mm alors que les ressorts se sont allongés seulement de 70mm. Bon, c’est un peu plus que la limite théorique, mais ça marche, sans déformation des ressorts.
Et le système est bien armé ; la preuve en image : je ne tiens plus la tourelle et le levier reste en position dans le TLT !!
Un coup d’œil à l’arrière du TLT permet de voir la gâchette : c’est une platine en inox qui coulisse de droite à gauche sur 3mm au niveau des vis M2 équipées d’écrous Nilstop ; un petit ressort visible en haut à droite assure le retour en position repos de la gâchette. La forme conique du doigt arrière du piston pousse la gâchette vers la gauche et celle-ci revient vers la droite sous l’action du petit ressort, dès quelle rencontre l’encoche du doigt.
Remarquez bien en bas à l’extrême droite de la gâchette un petit trous dont on va voir bientôt l’utilité.
Bon, maintenant que le TLT est armé, la torpille en place (pas sur la photo …), on referme la porte. Vous avez peut être remarqué à gauche du chariot de manœuvre de la porte, une tige en inox qui ne figurait pas lors du précédent post.
La voici en gros plan ; son utilité saute aux yeux ! Non ?? Alors, retournons voir à l’arrière du TLT…
Elle dépasse par le trou dans la gâchette : c’est un verrou de sécurité qui immobilise totalement la gâchette et empêche le tir accidentel de la torpille, porte fermée !!
Pour tirer la torpille, on ouvre la porte….
….Ce qui provoque le retrait du verrou de sécurité et permet le tir !!
Alors le tir................................... et bien c’est pour plus tard !!!!
Le système est terminé, monté, testé en l’air (mais pas encore dans l’eau), les photos sont faites et ça fonctionne du feu de Dieu !!
Il me reste juste à mettre en page…
A très bientôt donc…
Cordialement de jacky-Soum
Voici enfin la suite de la partie technique de la tourelle TLT que je vais scinder en deux parties distinctes, du fait du nombre important de photos ;
- d’abord le système de chasse de la torpille
- et, ensuite, le dispositif de déclenchement du tir.
Désolé Papy, tu vas devoir attendre encore quelques jours pour savoir !!!
Mais posons déjà les données du problème, en photos :
Voici cote à cote la tourelle TLT et une torpille qui devra être tirée : On remarque immédiatement que les longueurs sont quasi identiques !!!
Ce qui va forcément poser problème pour loger le ressort de chasse car, je le rappel, il n’y a pas d’air comprimé dans ce modèle et je reste fidèle (par obligation dans le cas présent…) à la chasse par ressort.
La torpille engagée dans le tube confirme le problème : elle arrive au raz de la porte….
….Et le piston chargé de la pousser est en butée à l’arrière du tube !! Y a pas de place pour loger un ressort !!
Il a donc fallu trouver une solution pour loger deux ressorts à l’extérieur du tube mais pas en action directe car il y aurait une perte importante de la course du piston.
En effet, le piston doit pousser le plus loin possible la torpille pour assurer sa complète sortie du tube, ce qui donne une course de 140mm.
Hors, les ressorts ne peuvent en aucun cas fournir directement cette course car, qu’ils soient du type à compression ou du type à extension, il y a toujours une longueur résiduelle au repos !!!
Dans le cas présent, les ressorts à extension que j’utilise mesurent 47mm au repos, soit, si je les utilise tels quel, une course possible du piston de 140 – 47 = 93mm, insuffisante pour expulser à coup sur la torpille !
De plus, 93mm d’allongement, cela représente presque deux fois la longueur au repos des ressorts, ce qui amène inéluctablement à leur destruction par déformation excessive !
Doubler la longueur du ressort lors de son utilisation est bien souvent la limite à ne pas dépasser, ce qui donne dans le cas présent, 47mm au repos + 47mm d’extension = 94mm utile….. Très inférieur aux 140mm de course du piston !
Pour contourner ce problème, je me suis inspiré de « l’arc compound » , l’arme que RAMBO utilise dans une de ses aventures pour descendre, entre autre, un hélicoptère de combat RUSSE. (Je connais mes classiques !!)
Il y a ici toute une série de photos et de descriptif de ce type d’arc : http://www.bing.com/images/search?q=arc ... &FORM=IGRE
J’ai eu l’occasion d’en essayer un une fois et c’est extraordinaire la puissance qu’il développe grâce à son système de poulies, alors que l’effort pour le bander est inférieur à celui nécessaire pour bander un arc de 35 livres !!!
Appliqué au problème qui nous intéresse, cela se traduit par un doublage de la course du piston par rapport à la course des ressorts, ce qui permet d’obtenir la course complète du piston.
Voici les éléments qui m’ont permis d’atteindre cet objectif :
On retrouve le piston sur lequel les deux vis à tête CHC provisoires ont été remplacées par deux vis usinées en inox sur lesquelles sont fixés les deux câbles. Observez bien la tige implantée à l’arrière du piston ; l’encoche qu’on distingue assure le maintien en position armée du piston, comme on le verra plus loin.
On a ensuite les deux ressorts, équipés chacun d’une petite poulie prisonnière d’une chape réalisée en laiton de 1mm. C’est elle qui va se charger de « multiplier » la course de l’ensemble.
Pour compléter le dispositif et inverser le sens du mouvement, deux chapes en laiton de 1mm supportent chacune une seconde poulie et un point d’accroche pour le câble.
Et voici l’ensemble monté sur la tourelle. Les ressorts sont accrochés à gauche à des vis fixées à l’extrémité arrière du TLT. C’est le point d’application de l’effort de traction. A droite, on distingue nettement les extrémités « libres » des câbles, accrochées aux « chapes d’inversion ». Celles-ci sont fixées par des vis M2 aux fausses portes des TLT de 400mm. Et on suit bien le cheminement des câbles depuis ce point d’attache jusqu’au poulies des chapes d’inversion.
Sous cet angle, on distingue tout à droite, en dessous de la poulie d’inversion, la vis fixée au côté droit du piston, sur laquelle l’autre extrémité du câble est accrochée.
Comment ça marche ?? Pour commencer, on ouvre la porte, afin de laisser le passage libre au levier d’armement que j’utilise aussi sur mon LAUBIE pour armer les cinq TLT. On remarque là, que le petit levier en laiton qui manœuvre la porte bascule juste ce qu'il faut pour laisser le passage à la vis latérale du piston !
Tiens, une photo vite faite, (pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore) du levier d’armement des TLT ; ce sont juste deux morceaux de rond de bois assemblés et peints en gris.
Lorsque l’extrémité du levier est introduite dans le TLT, on pousse délicatement, bien en ligne pour ne rien casser.
Un tiers environ de la course du piston….
….Deux tiers de la course ; on remarque déjà la différence entre les distances parcourues par le piston d’une part et par les ressorts d’autre part…
…A fond de course, le piston bute au fond du TLT et son doigt arrière crochète la gâchette : le contrat est rempli ! Le piston a parcouru 140mm alors que les ressorts se sont allongés seulement de 70mm. Bon, c’est un peu plus que la limite théorique, mais ça marche, sans déformation des ressorts.
Et le système est bien armé ; la preuve en image : je ne tiens plus la tourelle et le levier reste en position dans le TLT !!
Un coup d’œil à l’arrière du TLT permet de voir la gâchette : c’est une platine en inox qui coulisse de droite à gauche sur 3mm au niveau des vis M2 équipées d’écrous Nilstop ; un petit ressort visible en haut à droite assure le retour en position repos de la gâchette. La forme conique du doigt arrière du piston pousse la gâchette vers la gauche et celle-ci revient vers la droite sous l’action du petit ressort, dès quelle rencontre l’encoche du doigt.
Remarquez bien en bas à l’extrême droite de la gâchette un petit trous dont on va voir bientôt l’utilité.
Bon, maintenant que le TLT est armé, la torpille en place (pas sur la photo …), on referme la porte. Vous avez peut être remarqué à gauche du chariot de manœuvre de la porte, une tige en inox qui ne figurait pas lors du précédent post.
La voici en gros plan ; son utilité saute aux yeux ! Non ?? Alors, retournons voir à l’arrière du TLT…
Elle dépasse par le trou dans la gâchette : c’est un verrou de sécurité qui immobilise totalement la gâchette et empêche le tir accidentel de la torpille, porte fermée !!
Pour tirer la torpille, on ouvre la porte….
….Ce qui provoque le retrait du verrou de sécurité et permet le tir !!
Alors le tir................................... et bien c’est pour plus tard !!!!
Le système est terminé, monté, testé en l’air (mais pas encore dans l’eau), les photos sont faites et ça fonctionne du feu de Dieu !!
Il me reste juste à mettre en page…
A très bientôt donc…
Cordialement de jacky-Soum
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"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Beau boulot.
Cela me fait penser, par métaphore, à l'arbalette de Rambo. Sorry.
I'm so sorry.
Cela me fait penser, par métaphore, à l'arbalette de Rambo. Sorry.
I'm so sorry.
Mes sous-marins en état de marche :
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
Autres modèles : quadricoptère MiniDex amphibie full carbon, Quad Alien 680 pliable slowfly + Gopro
J-Pay quad 250 racer, Hexacoptère Typhoon H Yunnec.
Un Surcouf, un Seaview, une Flying sub, un Minisub, un subracer.
Autres modèles : quadricoptère MiniDex amphibie full carbon, Quad Alien 680 pliable slowfly + Gopro
J-Pay quad 250 racer, Hexacoptère Typhoon H Yunnec.
Re: Le poseur de mines RUBIS
Cc jacky .......
Quesque tu veux qu'on dise ......
Génial,C'EST DU SUPER BEAU TRAVAIL et en plus ,tout en image .
A+
Michel.
Quesque tu veux qu'on dise ......
Génial,C'EST DU SUPER BEAU TRAVAIL et en plus ,tout en image .
A+
Michel.
Ma 1ére réalisation:
Albator,sous marin imaginaire en pvc.
Mon futur projet :
Css Hunley en zinc au 1/10, en construction.
Albator,sous marin imaginaire en pvc.
Mon futur projet :
Css Hunley en zinc au 1/10, en construction.
- Geeks
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- Inscription : 03 juil. 2010 21:04
- Localisation : Brive la Gaillarde (Correze 19)
Re: Le poseur de mines RUBIS
Si je dois résumé...
On a un condensé d'un porte-avion (démultiplication de la course d'un piston par démultiplication comme avec le piston vapeur utilisé pour l'accélération d'un avion), d'un fusil (y a une gâchette quoi), d'un lance torpille (logique ça en est un) et d'un...
Bref, c'est su super travail comme on adore en voir
Les explications en plus
Continue comme ça tu va nous donner encore plus envie d'en équipé nos soums
On a un condensé d'un porte-avion (démultiplication de la course d'un piston par démultiplication comme avec le piston vapeur utilisé pour l'accélération d'un avion), d'un fusil (y a une gâchette quoi), d'un lance torpille (logique ça en est un) et d'un...
Bref, c'est su super travail comme on adore en voir
Les explications en plus
Continue comme ça tu va nous donner encore plus envie d'en équipé nos soums
A défaut d'avoir la science infuse, j'infuse la science. - Racleur de fond depuis Pons 2014.
Sous-marin en état de repos sur cale : Minimog 01
Sous-marin en état de repos sur cale : Minimog 01
Re: Le poseur de mines RUBIS
Super boulot et belle mécanique vivement une vidéo sous l'eau pour voir le réalisme du tir
Re: Le poseur de mines RUBIS
moi je dis c'est bo
Haddock : Messieurs, Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
Re: Le poseur de mines RUBIS
salut Jacky ,
genial !! bravo
A + philippe
genial !! bravo
A + philippe
- papy94
- Messages : 653
- Inscription : 23 janv. 2010 14:31
- Localisation : Champigny sur marne
- Contact :
Re: Le poseur de mines RUBIS
je passerais surement en coup de vent à MEAUX le dimanche, il me faut voir cela de prêt, c'est trop bien pensé