Le poseur de mines RUBIS
- Jacky-Soum
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Salut à tous !
Hé bien, voila des mines qui font couler beaucoup d'ancres !!
Heu.... D'encre !
Et rassurez vous, je ne vous ferai pas manger les restes de spaghetti !!!
La pré-cuisson et la mise en place dans les mines se feront à la maison...
Là, je ronge mon frein car ma commande de rond de laiton n'est pas encore arrivée....
Cordialement de Jacky-Soum
Hé bien, voila des mines qui font couler beaucoup d'ancres !!
Heu.... D'encre !
Et rassurez vous, je ne vous ferai pas manger les restes de spaghetti !!!
La pré-cuisson et la mise en place dans les mines se feront à la maison...
Là, je ronge mon frein car ma commande de rond de laiton n'est pas encore arrivée....
Cordialement de Jacky-Soum
"Où mon chapeau passe, la pluie trépasse !"
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
"La SOUS-MARINITE aigüe est une maladie virale très contagieuse !"
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"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
Re: Le poseur de mines RUBIS
moi je te trouve bonne pâte dans l'histoirePablo a écrit :Moi je trouve que ce sous marin a plutôt bonne mine...
les galathées c'est quand même bon avec de la mayonnaise
- Sherco
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Un vrai plat italien!!
C'est vrai que ça en fait de la mine!!
C'est vrai que ça en fait de la mine!!
- Jacky-Soum
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Bonjour tout le monde !
Ma commande de laiton est arrivée depuis plusieurs semaines et j’ai pu mener à bien la fabrication des pylônes de telle sorte que GOUDARGUES a vu le premier mouillage de mines du RUBIS, le 13 Aout !!
La mise à jour de ce dossier s’est fait attendre car j’ai priorisé la construction, les tests et, bien sûr, les vacances !
Revenons donc au début du mois de Juillet ; en attendant la livraison du rond de laiton de 12 mm, j’ai peint les mines, ce qui a fait dire à ma femme lorsqu’elle a vu cette installation dans mon atelier : « Tiens, tu as tendu ton fil à linge !!! » Oui, mais pas pour mes chaussettes (noires)….
Dès l’arrivée du rond, j’ai réalisé un premier pylône que j’ai comparé aux précédents prototypes et là, le résultat a dépassé mes espérances !!!
Voici, pour rappel, le pylône en PVC sur la balance : il pèse 2,3 gr, ce qui impose un lest de 12 gr pour obtenir un poids apparent dans l’eau d’environ 6 gr.
Le même pylône réalisé en rond de laiton de 10mm pèse 5,3 gr, ce qui réduit le lest à environ 9 gr.
Avec le rond de laiton de 12mm, le poids obtenu est 12,9 gr soit un peu plus que ce que j’avais estimé.
La mine complétement assemblée pèse maintenant 19,3 gr, soit seulement 0,7 gr de moins que prévu pour obtenir un poids apparent de 6gr. Mais l’augmentation de volume par rapport au PVC est telle qu’un test rapide montre qu’il n’y a plus besoin de lest en plomb ! Il faut même prévoir, pour certaines, d’alléger le tout pour respecter les 6 gr apparents prévus !
La fabrication en série est donc lancée immédiatement avec, en seconde opération le fraisage du logement de la base de la mine, qui est beaucoup plus grand que sur le pylône initial en PVC, afin d’augmenter la surface de spaghetti en contact avec l’eau ; la 1ére opération (non répétée ici mais visible plus haut) est la réalisation de l’épaulement à la base du pylône.
J’ai ensuite réalisé un petit outillage dont l’extrémité s’adapte parfaitement dans le logement qui vient d’être fraisé…..
….qui permet de positionner le logement de la base de la mine perpendiculairement à l’axe de perçage des trous destinés à recevoir la vis de réglage et le spaghetti.
Les perçages de 1,5mm pour le filetage M2 et le trou de 2 mm pour le spaghetti sont réalisés successivement.
Ensuite, après rotation de 90° du diviseur, le logement de la base de la mine est usiné avec les moyens du bord !!
N’ayant pas de fraise de diamètre 22mm, c’est une meule qui s’y colle !!
Il faut y aller tout doux, mais ça marche !
Nouvelle rotation de 90° du diviseur et usinage de la fente du pylône.
Là aussi, l’usinage est délicat car la fraise disque est fragile et sa faible épaisseur nécessite plusieurs passes pour obtenir la bonne largeur de la fente.
Chaque pylône achevé est numéroté et pesé puis, les mines assemblées provisoirement, l’ensemble est pesé dans l’eau.
Je n’ai pas de photos de cette phase par manque de temps…
Les pylônes trop lourds sont allégés à la demande en retouchant l’usinage de la fente, en largeur et en profondeur. Pour celui-ci, on est passé de 12,8 gr à 12,4 gr pour respecter les 6 gr apparents dans l’eau.
Les pylônes sont ensuite collés dans leurs chaises respectives…
…Et les fils de retenu des mines sont fixés et enroulés sur les pylônes ; la mise en place des morceaux de spaghetti immobilise les mines sur leurs chaises et les rend fonctionnelles.
Un détail est non visible sur les photos mais bien utile : chaque chaise porte 2 inscriptions distinctes gravées sous le pylône, le numéro (de 1 à 32) et le type « I » pour 1 mètre de fil utile pour les 16 premières, et le type « II » pour 2 mètres de fil utile sur les 16 autres.
Il est donc possible de régler l’immersion des mines de façon optimum en fonction de la profondeur du plan d’eau.
Il m’a fallu 2 bonnes semaines pour mener à bien cette fabrication et procéder à un premier test en bassin qui a confirmé le temps d’environ 2 heures pour obtenir la rupture du spaghetti.
Et puis, il a fallu aussi prévoir le rangement et le transport des mines sans risque de les abimer !!
Et comme le temps manquait pour réaliser la boite adaptée et intégrée à la caisse de transport, j’ai fait avec ce qui convenait le mieux en termes de dimensions….
Vous prendrez bien une tisane ???
Lorsqu’on ouvre la boite, on trouve d’abord un bloc de mousse dont le rôle principal est de caller les mines ; il comporte aussi un logement central occupé par un étui en plastique.
Il suffit de soulever ce bloc de mousse pour accéder aux mines.
L’intérieur de la boite est compartimenté afin que les mines se frottent le moins possible entre elles pendant les transports, afin de préserver la peinture.
Quant à l’étui en plastique, il renferme des morceaux de spaghetti et l’outillage spécifique au réglage des mines.
Ainsi, tout le matériel nécessaire au fonctionnement des mines est toujours à portée de main !
On est à GOUDARGUES le 13 Août 2017, et le premier mouillage de mines se prépare ; il manque la moitié des mines…..
….. qui trempent pendant 2 heures dans une petite cuvette avant embarquement dans les puits du RUBIS.
Les 16 mines ont été préparées en fonction de la profondeur d’eau de la zone prévue (70 cm d’eau) ; je les ai retirées un peu plus tôt que prévu car 4 ont « déclenché » prématurément, démontrant encore une fois l’incertitude sur le temps nécessaire au ramollissement du spaghetti.
Ca y est, le RUBIS part en mission, sous l’œil attentif de la camera des studios RAKHAM !
Le mouillage des 16 mines a été effectué en surface (les ballasts de compensation n'étant pas encore installés, le mouillage en plongée serait plutôt délicat...), en 2 passes « aller-retour » en respectant l’ordre de mouillage réel soit : 4 mines arrière gauche suivi de 4 mines avant droite lors de la 1ère passe, puis 4 mines arrière droite suivi de 4 mines avant gauche lors de la seconde passe.
Très vite, 4 mines « s’arment », comme on le voit sur cette photo prise 20 minutes après le mouillage.
Et, environ 1h00 plus tard, toutes les mines sont “armées”. Bon, je dois avouer que j’en ai aidé quelques-unes qui tardaient à réagir, ainsi que certaines dont le fil ne se déroulait pas complètement car il s’accrochait au bout de spaghetti dépassant du pylône….
De la mise au point à prévoir…
Puis, un peu plus tard et à la demande des studios RAKHAM, le U-47 venait se jeter dans le champ de mines mouillé par son ennemi historique…
Et après, il faut bien récupérer les mines !! Car il n’est pas question de les abandonner dans le plan d’eau, vu le boulot qu’elles m’ont données !!!
J’ai donc bricolé une « fourchette géante » en aluminium fixée sur un vieux manche à balai télescopique qui dormait dans un coin de l’atelier.
Lorsqu’il est replié, le manche ne mesure que 73 cm de long, ce qui permettra de le ranger aisément dans la caisse de transport du RUBIS.
Lorsqu’il est déplié, il mesure 1,35 m : la récupération des mines proches du bord du plan d’eau est possible.
Comme le diamètre du manche est compatible avec le manche de l’épuisette, un trou de verrouillage, visible sur la photo précédente, permet d’assembler les deux, ce qui porte à 4 m la distance maximale de récupération !!
On devine facilement la méthode, simulée ici sur ma terrasse : il faut juste imaginer la mine flottant entre deux eaux et il s’agit d’engager le fil de retenue dans un intervalle puis soulever la « fourchette » pour récupérer la mine et sa chaise.
Je n’ai eu aucunes difficultés pour récupérer mes mines à Goudargues, parvenant même à en attraper 3 simultanément mais il n’a pas été fait de photos !!
Voilà, même s’il n’est pas terminé, mon RUBIS est capable de mener à bien les missions pour lesquelles il a été conçu !
Il me reste maintenant à finir sa construction et il y a encore du pain sur la planche !!!
Cordialement de Jacky-Soum
Ma commande de laiton est arrivée depuis plusieurs semaines et j’ai pu mener à bien la fabrication des pylônes de telle sorte que GOUDARGUES a vu le premier mouillage de mines du RUBIS, le 13 Aout !!
La mise à jour de ce dossier s’est fait attendre car j’ai priorisé la construction, les tests et, bien sûr, les vacances !
Revenons donc au début du mois de Juillet ; en attendant la livraison du rond de laiton de 12 mm, j’ai peint les mines, ce qui a fait dire à ma femme lorsqu’elle a vu cette installation dans mon atelier : « Tiens, tu as tendu ton fil à linge !!! » Oui, mais pas pour mes chaussettes (noires)….
Dès l’arrivée du rond, j’ai réalisé un premier pylône que j’ai comparé aux précédents prototypes et là, le résultat a dépassé mes espérances !!!
Voici, pour rappel, le pylône en PVC sur la balance : il pèse 2,3 gr, ce qui impose un lest de 12 gr pour obtenir un poids apparent dans l’eau d’environ 6 gr.
Le même pylône réalisé en rond de laiton de 10mm pèse 5,3 gr, ce qui réduit le lest à environ 9 gr.
Avec le rond de laiton de 12mm, le poids obtenu est 12,9 gr soit un peu plus que ce que j’avais estimé.
La mine complétement assemblée pèse maintenant 19,3 gr, soit seulement 0,7 gr de moins que prévu pour obtenir un poids apparent de 6gr. Mais l’augmentation de volume par rapport au PVC est telle qu’un test rapide montre qu’il n’y a plus besoin de lest en plomb ! Il faut même prévoir, pour certaines, d’alléger le tout pour respecter les 6 gr apparents prévus !
La fabrication en série est donc lancée immédiatement avec, en seconde opération le fraisage du logement de la base de la mine, qui est beaucoup plus grand que sur le pylône initial en PVC, afin d’augmenter la surface de spaghetti en contact avec l’eau ; la 1ére opération (non répétée ici mais visible plus haut) est la réalisation de l’épaulement à la base du pylône.
J’ai ensuite réalisé un petit outillage dont l’extrémité s’adapte parfaitement dans le logement qui vient d’être fraisé…..
….qui permet de positionner le logement de la base de la mine perpendiculairement à l’axe de perçage des trous destinés à recevoir la vis de réglage et le spaghetti.
Les perçages de 1,5mm pour le filetage M2 et le trou de 2 mm pour le spaghetti sont réalisés successivement.
Ensuite, après rotation de 90° du diviseur, le logement de la base de la mine est usiné avec les moyens du bord !!
N’ayant pas de fraise de diamètre 22mm, c’est une meule qui s’y colle !!
Il faut y aller tout doux, mais ça marche !
Nouvelle rotation de 90° du diviseur et usinage de la fente du pylône.
Là aussi, l’usinage est délicat car la fraise disque est fragile et sa faible épaisseur nécessite plusieurs passes pour obtenir la bonne largeur de la fente.
Chaque pylône achevé est numéroté et pesé puis, les mines assemblées provisoirement, l’ensemble est pesé dans l’eau.
Je n’ai pas de photos de cette phase par manque de temps…
Les pylônes trop lourds sont allégés à la demande en retouchant l’usinage de la fente, en largeur et en profondeur. Pour celui-ci, on est passé de 12,8 gr à 12,4 gr pour respecter les 6 gr apparents dans l’eau.
Les pylônes sont ensuite collés dans leurs chaises respectives…
…Et les fils de retenu des mines sont fixés et enroulés sur les pylônes ; la mise en place des morceaux de spaghetti immobilise les mines sur leurs chaises et les rend fonctionnelles.
Un détail est non visible sur les photos mais bien utile : chaque chaise porte 2 inscriptions distinctes gravées sous le pylône, le numéro (de 1 à 32) et le type « I » pour 1 mètre de fil utile pour les 16 premières, et le type « II » pour 2 mètres de fil utile sur les 16 autres.
Il est donc possible de régler l’immersion des mines de façon optimum en fonction de la profondeur du plan d’eau.
Il m’a fallu 2 bonnes semaines pour mener à bien cette fabrication et procéder à un premier test en bassin qui a confirmé le temps d’environ 2 heures pour obtenir la rupture du spaghetti.
Et puis, il a fallu aussi prévoir le rangement et le transport des mines sans risque de les abimer !!
Et comme le temps manquait pour réaliser la boite adaptée et intégrée à la caisse de transport, j’ai fait avec ce qui convenait le mieux en termes de dimensions….
Vous prendrez bien une tisane ???
Lorsqu’on ouvre la boite, on trouve d’abord un bloc de mousse dont le rôle principal est de caller les mines ; il comporte aussi un logement central occupé par un étui en plastique.
Il suffit de soulever ce bloc de mousse pour accéder aux mines.
L’intérieur de la boite est compartimenté afin que les mines se frottent le moins possible entre elles pendant les transports, afin de préserver la peinture.
Quant à l’étui en plastique, il renferme des morceaux de spaghetti et l’outillage spécifique au réglage des mines.
Ainsi, tout le matériel nécessaire au fonctionnement des mines est toujours à portée de main !
On est à GOUDARGUES le 13 Août 2017, et le premier mouillage de mines se prépare ; il manque la moitié des mines…..
….. qui trempent pendant 2 heures dans une petite cuvette avant embarquement dans les puits du RUBIS.
Les 16 mines ont été préparées en fonction de la profondeur d’eau de la zone prévue (70 cm d’eau) ; je les ai retirées un peu plus tôt que prévu car 4 ont « déclenché » prématurément, démontrant encore une fois l’incertitude sur le temps nécessaire au ramollissement du spaghetti.
Ca y est, le RUBIS part en mission, sous l’œil attentif de la camera des studios RAKHAM !
Le mouillage des 16 mines a été effectué en surface (les ballasts de compensation n'étant pas encore installés, le mouillage en plongée serait plutôt délicat...), en 2 passes « aller-retour » en respectant l’ordre de mouillage réel soit : 4 mines arrière gauche suivi de 4 mines avant droite lors de la 1ère passe, puis 4 mines arrière droite suivi de 4 mines avant gauche lors de la seconde passe.
Très vite, 4 mines « s’arment », comme on le voit sur cette photo prise 20 minutes après le mouillage.
Et, environ 1h00 plus tard, toutes les mines sont “armées”. Bon, je dois avouer que j’en ai aidé quelques-unes qui tardaient à réagir, ainsi que certaines dont le fil ne se déroulait pas complètement car il s’accrochait au bout de spaghetti dépassant du pylône….
De la mise au point à prévoir…
Puis, un peu plus tard et à la demande des studios RAKHAM, le U-47 venait se jeter dans le champ de mines mouillé par son ennemi historique…
Et après, il faut bien récupérer les mines !! Car il n’est pas question de les abandonner dans le plan d’eau, vu le boulot qu’elles m’ont données !!!
J’ai donc bricolé une « fourchette géante » en aluminium fixée sur un vieux manche à balai télescopique qui dormait dans un coin de l’atelier.
Lorsqu’il est replié, le manche ne mesure que 73 cm de long, ce qui permettra de le ranger aisément dans la caisse de transport du RUBIS.
Lorsqu’il est déplié, il mesure 1,35 m : la récupération des mines proches du bord du plan d’eau est possible.
Comme le diamètre du manche est compatible avec le manche de l’épuisette, un trou de verrouillage, visible sur la photo précédente, permet d’assembler les deux, ce qui porte à 4 m la distance maximale de récupération !!
On devine facilement la méthode, simulée ici sur ma terrasse : il faut juste imaginer la mine flottant entre deux eaux et il s’agit d’engager le fil de retenue dans un intervalle puis soulever la « fourchette » pour récupérer la mine et sa chaise.
Je n’ai eu aucunes difficultés pour récupérer mes mines à Goudargues, parvenant même à en attraper 3 simultanément mais il n’a pas été fait de photos !!
Voilà, même s’il n’est pas terminé, mon RUBIS est capable de mener à bien les missions pour lesquelles il a été conçu !
Il me reste maintenant à finir sa construction et il y a encore du pain sur la planche !!!
Cordialement de Jacky-Soum
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"Heureux possesseur du LAUBIE ex U766"
"Le poseur de mines RUBIS des FNFL en construction..."
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Re: Le poseur de mines RUBIS
........................
Moins je réfléchis plus fort et plus j'agis moins vite
Les bons crus font les bonnes cuites => Pierre Dac .
.... la simplicité est-ce bien la plus simple solution ..........?
La femme est l'avenir de l'homme .
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.... la simplicité est-ce bien la plus simple solution ..........?
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Re: Le poseur de mines RUBIS
Superbe
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Re: Le poseur de mines RUBIS
le boulot le boulot
Re: Le poseur de mines RUBIS
Haddock : Messieurs, Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
Re: Le poseur de mines RUBIS
Sous marin imaginaire en PVC (désarmé)
Hunley en métal au 1/8
Kilo au 1/144
Un Subracer
Jouets pour mes petits-enfants
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